Questionnement

Picture of Sabre Maizieres

Sabre Maizieres

Comment fait-on pour passer de « journaliste » à « politicien » ?

Il faut nourrir un contentieux lourd, je pense…

Ne me faites pas l’affront de ne pas comprendre cette intro ?

Un journaliste est un témoin, des yeux qui nous racontent ce que nous ne pouvons voir. Soit parce qu’on est trop loin, soit parce qu’on nous cache des « choses »…

Un politicien ? Pour moi, il n’y en a que deux sortes, des altruistes et des trompettes. Le vent souffle dans les deux. L’inspiration de la générosité gonfle les voiles des premiers, des Martin Luther King, des Gandhi, des Mandela, voire même des Obama… La fatuité enfle les joues des autres, les revanchards, les opportunistes, les ambitieux, les… Bref, vous m’avez compris ! Je ne voudrais que seuls les premiers est « droit au chapitre ». Adieu les polémistes, les poujadistes, les populistes, et vivent les « oublieux-d’eux-même », les « qui-pensent-aux-autres », les « qui-regardent-l’avenir »… Certains diront que l’on a que ce qu’on mérite ! Ben, on n’a pas été sages, parce qu’on est souvent puni.

Mais je quitte là mon « billet d’humeur » politique… J’entends déjà O’Mélie Addams (mon assistante) me morigéner :  « Tu es un écriteur, pas un éditorialiste ! Alors, écris ! »

On ne gouverne pas son « état d’esprit », mauvais certains matins, bons certains soirs… L’on peut la décider  «positive» ! Choisir d’être heureux de l’instant présent. Vivre cette joie immédiate. Confucius, le bouddhisme… La philosophie. Zen ! Autoéditer des romans pour faire voyager des lecteurs. Offrir ses maigres qualités, juste pour enjoliver le quotidien.

Et… c’est Jessica qui s’imaginera sur un paquebot, séduite par le capitaine, tout en étant dans son métro sur le trajet de son boulot…

Ou encourager Simon à se lever, tel ce soldat qui ne veut pas mourir sous les assauts d’un tyran, assis à son bureau devant son ordi…

Quelques mots, des phrases, et le rêve commence…

Des peintres comme Van Gogh nous ont montré une Nature que nous ne voyions pas, Picasso a transpercé les êtres, Buffet, Soulage, et d’autres nous ont interloqués. Eric Chomis nous a invités à la « fête des couleurs »…

Et l’écriteur, que j’essaye d’être, est au fond d’un bar, à tenter de vous emmener dans son décor. Celui d’un petit troquet de campagne, où les chalands s’interpellent, rient des infos, et se partagent tournées et bons mots.

Venez, je vous offre le café… On refera le monde, et je suis sûr qu’on en fera un meilleur !

Sabrement vôtre…

image de la catégorie bonjour représentant une tasse de café remplie et une petite cuillère
Catégories
Archives

Coups de coeur littéraires

error: Ce contenu est protégé!!!